Vous con­nais­sez cet­te maxi­me: nous som­mes ce que nous man­ge­ons. Or cela est non seu­le­ment vrai pour vos cli­ents, mais aus­si pour les ani­maux qui finis­sent dans leurs assi­et­tes. Pourtant, il est sou­vent dif­fi­ci­le de savoir ce qu’ont ingur­gi­té les volail­les que nous man­ge­ons – sauf quand il s’agit de pou­lets Alpstein de Bianchi. Ces der­niers n’avalent en effet rien d’autre que des ali­ments sélec­tion­nés avec soin, dont du maïs pur. Autrefois, le maïs con­sti­tuait la base de l’alimentation de la popu­la­ti­on des envi­rons et celui que nous uti­li­sons est natu­rel et sans OGM. Allié à l’élevage dura­ble en liber­té et en petits grou­pes, à l’air frais et à la bel­le her­be ver­te de la région, il con­fè­re à la chair des pou­lets Alpstein leur saveur incom­pa­ra­ble. Ces volail­les de pre­mier choix se distin­guent en out­re par une tra­ça­bi­li­té tota­le, si bien que cel­les et ceux qui les dégu­stent ont la cer­ti­tu­de de con­som­mer une vian­de sai­ne et authen­tique. Bref, nous som­mes ce que man­ge ce que nous man­ge­ons. Et cela expli­que pour­quoi les ama­teurs de pou­lets Alpstein sont heu­reux com­me des coqs en pâte. Tentez l’expérience: vous n’en voud­rez plus d’autres.